Un Beau nom implique un Grand devoir
Un Beau nom implique un Grand devoir
Le roman « id est patrimonium » qui conte l’attache à un terroir, une région, un métier, d’une jeune femme si fière de son patronyme indissociable de Montgueux.
Hélène peut fièrement contempler le coteau de rangs de vigne, héritage du rêve fou accompli de l’audacieux Gustave son arrière-grand-père à Montgueux.
Grâce à l’opiniâtreté de Léon, son fils, les vins de Montgueux arborent l’appellation Champagne depuis le 24 septembre 1927.
Parfois surnommé « Montrachet de Champagne », le vignoble s’expose sur un petit mont qui dort au soleil.
Le sol de Craie tendre Turonien et de Silex, permet à la vigne de s’épanouir sans stress hydrique et de produire des raisins bien murs de Chardonnay riches en complexité aromatique si particulière à ce terroir insolite.
« Dès le XIIème siècle, la vigne est cultivée à Montgueux, mais détruite par le phylloxera à la fin du XXème siècle. La famille Beaugrand fut la première à replanter. »
Gustave Beaugrand fait sa première déclaration de récolte pour le Domaine Beaugrand : 600 litres de vin tranquille, soit trois barriques.
Son fils, Léon Beaugrand, obtient l’appellation d’origine contrôlée “Champagne”, grâce à sa persévérance.
Petite-fille de Léon, Hélène Beaugrand rejoint le domaine en tant que prestataire de service et élabore de nouvelles cuvées.
Héritière de trois hectares sur le domaine, Hélène Beaugrand fonde sa propre exploitation viticole « Champagne HÉLÈNE BEAUGRAND ».
Le Domaine familial ne Champagnise plus.
« La colline de Montgueux est la plus saine de Champagne grâce à son exposition idéale et à son terroir enherbé. J’ai une chance inouïe que ma vigne y pousse. Le vent la protège des maladies. Je prends soin de mon domaine en respectant la nature. Il est d’ailleurs certifié Haute valeur Environnementale Niveau 3 (HVE 3). Je souhaite aller vers une conversation en BIO Biodynamie. »